Sabre d'officier de cavalerie légère pouvant être daté du début de l'empire.
Garde à une branche arrondie, perlée et fendue pour le passage de la dragonne. Oreillon en forme d'écu sur base rectangulaire. Quillon rainuré en pavillon de trompette. Calotte plate à courte queue. Poignée en bois noirci finement quadrillée.
Intéressante lame caractéristique de la période.
Côté garde, elle est gravée de la mention "Terreur des Albions", surmontée de l'aigle impériale dans un ovale, comme aux sabres de combat des officiers de chasseurs à cheval.
Côté contre-garde, elle porte la mention "Vainqueur à Austerlitz", surmontée d'un ange, dans un ovale, embouchant la trompette de la renommée.
Fourreau de laiton uni. Dard en acier.
La lame est certes piquée, mais les gravures sont nettes et profondes et conservent des traces de dorure.

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Statuette en bronze à patine médaille du Général Bonaparte sous la révolution, la main droite glissée dans le gilet, la main gauche tenant des gants.
Elle repose sur un socle en marbre blond. La terrasse est signée V Rivière.
​​​​​​​Hauteur : 21cms, 24cms avec le socle..
V. Rivière : sculpteur fin XIXème, début XXème.

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Couteau de Ceylan dit Piha Katea en argent et or avec son batardeau.

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Bronze à patine médaille représentant Napoléon 1er monté sur un cheval arabe.
L'Empereur est en tenue de Colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale, coiffé de son célèbre chapeau et vêtu de son manteau, tel qu'il avait l'habitude de s'habiller en campagne. Il tient une longue vue dans sa main gauche et les rênes du cheval dans sa main droite.
Il est monté sur un petit cheval arabe comme il les appréciait (Napoléon n'était pas un grand cavalier et montait des petits chevaux très doux de caractère).
La terrasse est fixée sur un socle de bois brun.
Ce bronze, non signé, est intéressant de par une grande précision dans les détails et le mouvement qu'il exprime.

H 38 cms, L 36 cms

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Buste en bronze à patine brune sur piédouche, représentant l'Empereur Napoléon 1er en tenue de Colonel des chasseurs à cheval de la Garde Impériale, coiffé de son célèbre chapeau et revêtu de son non moins célèbre manteau.
Le piédouche est fixé sur un socle de marbre jaune. Il porte au-dessous la signature de Chaudet.
CHAUDET, Antoine, Denis : né le 3 mars 1763 à Paris, mort le 19 avril 1810 à Paris. Premier prix de Rome de sculpture, membre de l'institut, professeur à l'école des Beaux Arts, célèbre, entre autres, pour plusieurs de ses sculptures de Napoléon 1er.

H 38 cms

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Possibilité d'acquérir en lot les trois types de carabines de Versailles, dont la rarissime carabine Modèle 1793 attribuée à la marine.

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Exceptionnelle carabine de Versailles Modèle 1793, affectée à la marine, comme en atteste l'ancre surmontée d'un bonnet phrygien frappée sur la crosse.
N.B : la marine avait été équipée de telles armes, qui permettaient à des tireurs d'élite postés dans les hunes d'ajuster avec précision les officiers des vaisseaux ennemis.
Lourd canon à pans sur toute la longueur, légèrement tromblonné à la bouche, à fortes rayures, portant le poinçon de l’inspecteur de la quatrième division, R4 surmonté d’un bonnet phrygien, dans un ovale.
Platine à corps plat frappée MANUFre A VERSAILLES., et portant le poinçon B N1 entouré de feuillage dans un ovale de Pierre Bouny.
Selon Boudriot ces marquages de platine sont ceux de l'An 7.
Monture de noyer blond de qualité, sans autre marquage que l'ancre de marine.
Bretelle d'origine à boucle de forme primitive, sans ardillon.

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Carabine de Versailles Modèle An XII pour l'Infanterie.
Lourd canon à pans sur toute la longueur, légèrement tromblonné à la bouche, à fortes rayures, poinçonné GG du réviseur Georges Godmas, qui quitte Versailles en mai 1812, J dans un ovale de l'inspecteur Jacquesson et poinçon révolutionnaire de l'inspecteur de la nième division.
La platine est frappée "Mre Imple de Versailles" en lettres capitales et porte le poinçon N dans un écu de Niçaise.
Toutes les garnitures sont poinçonnées du D en cursive de Deschaseaux.
Côté contre-platine la crosse porte, sous la joue, les initiales J.D de Jean Baptiste Deschaseaux et le macaron de crosse daté de Février 1812, avec les initiales du contrôleur Deschaseaux et de l'inspecteur Jacquesson.
Toujours côté contre-platine, cette crosse a été décorée d'émouvants porte-bonheurs : trois trèfles et un branchage.
Cette arme est en parfait état, elle présente une belle patine et tous les marquages sont homogènes.
A noter que le canon forgé sous l'ère révolutionnaire a été monté et réceptionné début 1812 par Godmas et Jacquesson, ce qui était relativement fréquent.

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Carabine de Versailles de Cavalerie Modèle 1793 de la manufacture de Versailles.
Platine à corps plat, marquée Mafre à Versailles en lettres cursives.
Poinçon de l’inspecteur de la deuxième division à l’arrière de la platine : B2 surmonté d’un bonnet phrygien dans un ovale, vraisemblablement Daniel Bouissavy, selon Boudriot. 
Fort et court canon à pans sur toute la longueur, légèrement tromblonné à la bouche, portant le poinçon de l’inspecteur de la quatrième division : R4 surmonté d’un bonnet phrygien dans un ovale.
Monture de noyer rouge. Crosse frappée d'un V
Compte-tenu des poinçons, cette arme peut être datée de l ’an III ou de l’an IV (soit 1795 ou 1796).

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Pistolet-carabine de vènerie des chasses impériales de Napoléon III. Système à broche.
Crosse squelette amovible gainée de cuir ajustée à la poignée du pistolet au moyen d'une bague tournante décorée d'une frise.
Platines arrière bronzées gris, finement gravées de feuillages et signées "Devisme à Paris".
Culasse, chiens, clé de verrouillage et calotte également bronzés gris et décorés de feuillages.
Pontet décoré à l'or du N couronné impérial sur fond noir.
Doubles canons rayés juxtaposés, joliment bronzés et flammés à la sanguine. Bascule à clé. Dérive du guidon ajustable.
Table gravée "Devisme, 36 boulevart des Italiens à Paris".
Crosse en noyer choisi finement quadrillée.
Le jeu des différentes mises en couleur du métal (rouge, gris, noir) est du plus bel effet.
On peut penser que cette arme de très grande qualité de fabrication fut une arme de présent ou plus vraisemblablement affectée aux chasses impériales.
Devisme : né le 9 juillet 1806 à Paris, mort à Argenteuil le 30 avril 1873, Louis-François Devisme fait son apprentissage dans l'arquebuserie chez un ancien ouvrier de Nicolas Boutet, J-Louis Dedoudert. En 1830, Deboudert laisse la succession de son magasin à Devisme, qui se spécialise dans l'arme de chasse et les coffrets de pistolets de grande qualité de finition. D'abord installé 14, rue du Helder, il s'établira en 1850 au 36, bvd des Italiens.

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Pistolet de marine Modèle 1779 du deuxième type (platine non "rognée").
Platine marquée "M Rle de Tulle", pour Manufacture Royale de Tulle.
Canon rond marqué 83 au tonnerre, pour 1783.
Crosse en noyer foncé.
Crochet de ceinture côté contre-platine.
Toutes les garnitures sont poinçonnées du R couronné du contrôleur Rouillard.

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Sabre de cuirassiers modèle An XIII (branches de garde touchant la calotte).
Lame droite à double pans creux à pointe dans le prolongement du dos poinçonnée du L dans un cercle de F.L Lobstein, réviseur à Klingenthal de 06/1804 à 03/1829, du B dans un cercle de J.G Bick, contrôleur de 02/1809 à 07/1819, ainsi que du P étoilé dans un cercle de Jean Pache, inspecteur de juin 1811 à décembre 1811.
Lame gravée au dos Mfture Imple du Klingenthal juin 1811.
Garde de laiton à plateau, à quatre branches. Calotte à courte queue portant le poinçon F de J B Lefebvre, contrôleur à Versailles de 01/1811 à 12/1813. Dessous du plateau portant de nombreuses marques des monteurs.
Dessus du plateau frappé de la barrette de Versailles, poinçonné du J de J-B Jacquesson inspecteur à Versailles à partir de novembre 1809 et du F de J B Lefebvre.
Poignée gainée de cuir noir, filigrané de laiton torsadé.
Fort fourreau à deux anneaux de bélières se terminant par un dard en forme de lyre.
P.S : pour mémoire, la moitié des lames forgées à Klingenthal était montée sur place, l'autre moitié était expédiée à Versailles.

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Rarissime sabre de combat d'Officier des Chasseurs à Cheval de la Garde Impériale du Premier Empire. 

Garde à trois branches à la chasseur, poinçonnée de DUC. Calotte à longue queue. Quillon à enroulement recourbé vers le bas. Le tout bordé de filets. Poignée de bois recouverte de cuir noir sans filigrane. 

Lame d'acier poli glace, bleuie au tiers et décorée, sur chaque face, de trophées d'armes, d'un soleil et de l'aigle couronnée dans un ovale caractéristique de ce modèle. Dos de la lame arrondi gravé, "Chasseur à Cheval de la Garde Impériale".

Fourreau d'acier poli à deux larges bracelets de bélière de laiton bordés d'une forte moulure.

Les exemplaires connus de ce type de sabre se comptent sur les doigts d'une main.

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Aquarelle gouachée sous verre de Georges Scott (1873 - 1943) représentant un officier de cavalerie du Premier Empire (probablement de cuirassiers), en tenue de ville, cape jetée sur l'épaule, décoré de la légion d'honneur du premier type.
Elle porte, en haut à droite, une dédicace : "Pour mon cher ami Villiers affectueusement".
Elle est signée Georges Scott - 1934.
Encadrement baguette en bois fruitier (21 x 13 cms).
Georges Scott ou Scott de Plagnolle (de son nom complet Georges Bertin Scott de Plagnolle), né le 10 juin 1873 à Paris, et mort le 14 janvier 1943, est un peintre et illustrateur français. Il est connu notamment pour ses dessins de la Première Guerre mondiale publiés dans L'Illustration

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Luxueuse épée d'officier général.
Garde à une branche ciselée de feuillages. Calotte décorée de volutes, ornée d'une femme tenant un rameau d'olivier, guidant un cheval fougueux, symbole de la pacification.
Plaquettes de nacre, portant le buste de la déesse Hathor, mère de tous les Dieux et déesse de la fertilité.
La virole est décorée de feuilles d'acanthe.
Le plateau représente, entre deux palmiers, un lion et une lionne veillant sur deux lionceaux, symbole de la famille, de la protection et de la puissance. Le lion, roi des animaux est aussi le symbole du général toujours victorieux.
Les deux extrémités du plateau comportent des médaillons ornés du visage de l'Empereur représenté à l'antique.
La lame à section losangée est bleuie au tiers et décorée de feuillages dorés.
Le fourreau de cuir noirci est à deux garnitures. La chape ciselée de toiles d'araignée comporte une bouton sculpté d'une abeille, symbole impérial du travail et de l'obéissance au souverain. La bouterolle est ciselée de feuillages.
Cette épée a conservé la totalité de sa superbe dorure.

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Canons "rubans" octogonaux, légèrement tromblonnés à la bouche, bronzés gris.
Calibre 18 mm à 48 rayures "cheveux".
Ils sont datés "1847" sur le pan droit et gravés "MR" pour Manufacture Royale. Ils comportent les poinçons L et D des contrôleurs et réviseurs sur le pan gauche et le poinçon couronné de l'inspecteur au pied de la cheminée.
Platines arrière jaspées, signées « Mre Rle de Châtellerault ». Chien à percussion jaspé.
Crosses en noyer à fût court finement quadrillées et poinçonnées d'un D.
Toutes les garnitures sont en acier jaspé.
Les calottes à anneau se dévissent pour donner accès à un logement permettant de conserver cheminée de réserve et dosette (absente).
Baguette en acier avec tête en laiton.
Ces armes sont proches du neuf.

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Sabre d'Officier des Grenadiers à Pied de la Garde Impériale. 

Garde à une branche en bronze, ciselée de fleurons, oreillon extérieur orné du profil de Napoléon 1er en argent, fusée entièrement filigranée d’argent.

Lame à dos rond à un pan creux et gorge latérale, gravée, bleuie et dorée sur la moitié de sa longueur, marquée sur une face « Grenadiers à Pied » dans un cartouche surmonté d’une aigle d’étendard couronnée et sur l'autre face "Garde Impériale" dans un cartouche également surmonté de l'aigle. Elle est signée au talon « Duc fourbisseur de la Garde Impériale rue St Honoré en face de celle de la Loi n°251 à Paris » et sur le dos Klingenthal.

Le fourreau est de cuir verni noir à deux garnitures de laiton doré décorées au trait.

Ce sabre a perdu le bleu de sa lame, mais conserve des traces de dorure dans le fond des gravures, qui restent bien nettes. Des traces de dorure demeurent également sur les garnitures du fourreau. Il porte sur la chape un piton de bélière ajouté par son propriétaire pour un usage, qui lui était propre.

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Sabre de Dragons Mle An XIII (branches de garde touchant la calotte).

Garde de laiton à plateau, à quatre branches. Quillon comportant les poinçons de Versailles : le poinçon AC entrelacés, d'Antoine Chapelle, Inspecteur de 02/1805 à 07/1809, le poinçon JD de J.B Deschaseaux, Contrôleur, et le poinçon JC de Jean Cazamajou, Réviseur de 1803 à 08/1806. La calotte porte un poinçon illisible. Le dessous du plateau est frappé de la lettre J.

Lame marquée au dos "Mture Imple du Klingenthal Coulaux Frères", portant le poinçon B entouré de points de l'Inspecteur Simon de Baumaretz, en poste à Klingenthal de septembre 1803 à mai 1807 et le poinçon de J-Jacques Mouton, (la grosse roue surmontant le M), Contrôleur de 1ère classe de juillet 1798 à février 1809.

Le fourreau est de cuir noir verni sans alèses à trois garnitures de laiton découpées en accolade. La bouterolle comporte le petit dard sphérique en acier conforme au modèle An XI - An XIII.

N.B : les lames furent gravées Manufacture Impériale à partir du 31 janvier 1806. La fabrication de ce sabre peut donc être datée de février 1806 à août 1806.

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Sabre de sous-officier de hussards An IV de fabrication révolutionnaire.
Garde en laiton à la hongroise. Poignée recouverte de cuir, filigranée de laiton torsadé en chevrons. La branche de garde est frappée du poinçon au coq et le dessus du quillon ne porte pas le nom d'un fourbisseur privé contrairement à l'habitude, car issue de Klingenthal.
Lame à pan creux et forte flèche, poinçonnée du faisceau de licteur et du B au bonnet phrygien de F.Bisch utilisé de 1792 à 1798. Côté garde la lame est gravée en grandes lettres cursives "Repe" pour République et côté contre-garde "Franse" pour Française. Le dos de la lame est gravé KLINGENTHAL en fortes lettres capitales.
Le poinçon au coq et le faisceau de licteur ont été utilisés par l'administration de la guerre de 1793 à 1799.
Fourreau à fut de bois recouvert de cuir à deux grandes garnitures de laiton, dard en fer. Une petite pièce de cuir a été collée sur une partie de la couture.

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Casque des Gardes-du-Corps du Roi, premier modèle, de la compagnie de Luxembourg.
Bombe de cuir verni noir, constituée de deux demi-coques cousues ensemble, habillée de nombreux éléments de cuivre estampé plaqué d'argent.
A l'avant elle comporte une plaque représentant le visage du soleil rayonnant entouré des deux L royaux entrelacés, surmontant la devise des Gardes-du-Corps dans un ruban : "Nec pluribus impar".
Les côtés sont décorés de deux palmes de cuivre argenté.
L'arrière est souligné d'un bandeau décoré d'une guirlande de feuillages.
La visière, cerclée d'un jonc argenté, est de cuir noir et le dessous est ciré vert. La nuquière de cuir noir également n'est pas cerclée
Les jugulaires sont de cuir souple recouvert de dix-huit rangs d'écailles bombées au bords ciselés. Les rosaces de grand diamètre représentent le soleil rayonnant. Les deux jugulaires s'attachent entre elles sous le menton au moyen de cordons terminés par des floches argentées.
Le très haut cimier est composé de deux ailerons richement ciselés de sortes de plumes. Le masque représente une corolle surmontée de plumes ciselées. Ce cimier est recouvert d'une chenille de crin noir.
Le porte plumet de forme trapézoïdale est à section carrée. Il est attaché à la bombe par deux fils d'argent.
Le plumet est de plumes de vautour blanches teintées à la base à la couleur de la compagnie, en l'occurrence rouge pour la Compagnie de Luxembourg. La base du plumet est théoriquement garnie d'une tulipe, absente sur l'exemplaire présenté (une reproduction de qualité peut-être fournie).
Ce casque est en excellent état. Le bandeau intérieur en cuir est présent. Seule manque la coiffe de soie.

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Epoque : 1er Empire

Magnifique sabre d'Officier Général.

Garde à une branche sculptée de trophées. Calotte en forme de mufle de lion. Poignée en véritable ébène finement quadrillée. Quillon en forme de tête de loup. Oreillons décorés d'une tête de Minerve.

La lame, entièrement damassée, est sculptée et dorée au talon. Elle se termine en langue de carpe.

Le fourreau est de cuir à deux garnitures. Celles-ci sont entièrement ciselées d'écailles et de symboles de commandement.

Il s'agit d'une arme de grand luxe, qui a conservé l'intégralité de sa dorure. Elle est dans un état de fraîcheur remarquable.

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Monture de laiton en deux parties : l'une constituant la poignée à godrons, l'autre la branche de garde simple à demi-oreillons se terminant par un quillon en trèfle. Le pommeau est en forme de casque stylisé.
La lame est plate à dos plat, légèrement courbe, d'une longueur de 595 mms. Les plats sont gravés d'une grenade sur chaque face et de la mention "GRENADIER", côté contre-garde, et des deux L entrelacés, côté garde. Le dos de la lame est gravé "Mture Rle d'Alsace".
La lame et la branche de garde sont poinçonnés du J couronné de l'Inspecteur de Juchereau en poste de 1787 à 1789 et du B couronné du contrôleur François, Antoine Bisch, en fonction à partir de juillet 1783.
Le fourreau est en cuir noirci sans alaise, à deux garnitures de laiton. La chape, fendue horizontalement comporte une languette de cuir à boutonnière servant à fixer l'arme au baudrier. La bouterolle est à bouton.
Arme rare dans cet état, dont la fabrication peut être datée de 1787 à 1789.

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Magnifique paire de pistolets de tir à percussion dans son coffret nécessaire, garni de velours vert gaufré, complet de tous ses accessoires.
Canons bleuis, décorés de feuillages aux deux extrémités et signés "PIRMET à Paris".
Remarquable travail de gravure des platines, des chiens, des canons et des crosses. Les platines sont également signées "Pirmet à Paris".
Le coffret de palissandre porte un écu en laiton sans attribution. L'intérieur du couvercle reprend en lettres d'or la mention "Pirmet, 15 allée d'Antin, à Paris".
Cet ensemble est dans un état de conservation remarquable proche du neuf.

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Bronze à patine brune représentant Napoléon 1er vers la fin de l'Empire.
Il est dans une attitude caractéristique, mains derrière le dos.
La silhouette est remarquable de vérité.
La terrasse carrée est marquée à l'arrière PRADIER.
James Pradier :pseudonyme de Jean-Jacques Pradier, né à Genève le 23 mai 1790 et mort à Bougival le 4 juin 1852, est un sculpteur et peintre français de Genève, d’origine suisse d'après d'autres sources. Il fut considéré comme l'un des plus grands sculpteurs de son époque, jusqu'à sa mort sous le Second Empire. Ses œuvres ont connu une grande postérité.

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Bronze à patine brune, représentant un grenadier à pied de la Garde Impériale du Second Empire, en grande tenue, au "Présentez armes".
La terrasse arrondie est marquée E.FREMIET.
Cette oeuvre est remarquable de précision uniformologique et de réalisme.
Elle est en parfait état. A noter que la baïonnette n'est pas abimée, ce qui malheureusement est souvent le cas sur ce genre de représentation.
Emmanuel Fremiet :sculpteur né à Montrouge le 6 décembre 1824, mort à Paris le 10 septembre 1910, auteur d'oeuvres célèbres, dont la plus fameuse, peut-être, est le St Michel terrassant le dragon du Mont Saint Michel.

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Figurine en porcelaine représentant un Capitaine des Mameluks de la Garde Impériale.
Il s'agit d'une édition spéciale, qui se distingue par le réalisme des détails et des matériaux utilsés.
Les pistolets retenus par une cordelette dorée peuvent être sortis du kobourg en cuir vert galonné d'or.
La ceinture est de tissu rayé.
La giberne et la banderole de giberne sont en cuir vert également rehaussés d'or.
Le sabre est parfaitement représenté et le fourreau est recouvert de galuchat gris. Il est suspendu par des cordons de laine multicolore tressée.
La terrasse porte, à l'arrière, la mention "Mameluk de la Garde Capitaine 1813".

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Superbe dague de chasse, d'époque Napoléon III, finement gravée de motifs floraux et de feuillages.
La poignée est en ivoire, le pommeau est en forme de couronne comtale. La croisière est à deux quillons droits légèrement évasés. Elle surmonte un plateau portant un ecusson vierge d'attribution.
La lame à triple gouttière est gravée de perles et de fleurs. Elle porte au talon la mention "Perrin à Paris".
Le fourreau bleui est gravé à ses deux extrémités des mêmes motifs floraux. Il est également signé "Perrin à Paris".

Perrin : célèbre arquebusier tenant boutique 51, rue Laffitte à Paris.

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Petit couteau de Laguiole miniature. Il s'agit probablement d'un travail de maîtrise.
Le métal a la patine de son âge. Le manche est en ivoire. Les rivets sont en laiton.
La lame est signée ESTIVAL.
Il est tout à fait conforme au modèle de tradition.

PRIX : 550 €

Sabre de luxe d'un officier supérieur.
Garde dorée à une branche en arc de cercle. Poignée en ivoire finement quadrillée. Branche de garde décorée de feuillages et de fleurettes. Quillon recourbé en bouton. Calotte à courte queue en forme de tête de lion. Oreillon en écu orné d'une palmette.
Lame courbe à un pan creux, bleuie au tiers et réhaussée de motifs floraux dorés.
Fourreau de laiton doré, bordé de frises, orné de trois magnifiques cabochons sculptés "au repoussé", figurant des trophées d'armes. Bracelets de bélière également décorés de frises en suite.

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Elégante épée d'officier général (ou d'Etat Major), possiblement de marine.
Fine poignée à plaquettes de nacre bordées de guirlandes de feuilles de chêne et de laurier. Pommeau à côtes de melons, orné de feuilles d'acanthe et des foudres de commandement.
Branche de garde en arc de cercle, joignant le pommeau par une coquille Saint Jacques. La branche de croisiere est ornée, vers l'avant, d'un muffle animal et se termine, vers l'arrière, en forme de fourche à double quillon fleuri. La virole est gravée de feuilles de chêne. Le plateau de garde est décoré de trophées d'arme.
Lame, sans piqures, à section losangique, bleuie au tiers et décorée de motifs floraux dorés.
Fourreau de cuir à deux garnitures. La chape est gravée d'une double frise à losanges et d'une toile d'araignée. Le bouton de chape est en forme de casque. La bouterolle est decorée en suite.
Cette épée reprend tous les symboles du haut commandement : feuilles de chêne, foudres de commandement, casque, toile d'araignée.
La présence de la coquille Saint Jacques sur la branche de garde peut symboliser l'appartenance à la marine.
Cette arme a conservé 95% de sa dorure d'origine.

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Sabre d’officier de cavalerie légère à la chasseur.
Poignée recouverte de basane avec filigrane de fils de cuivre rouge torsadé.
Lame bleuie et dorée au tiers, gravée à partir du talon de divers trophées et guirlandes, signée dans un cartouche, côté garde « Coulaux frères » et côté contre-garde « Manufacture de Klingenthal ». Des deux côtés de la lame figure l’aigle impériale (Le décor de cette lame est en tout point identique à la lame du sabre figurant p 283 du livre « Sabres français » de Christian Blondieau).
Le fourreau comporte une découpe d’encastrement des oreillons. Les bracelets et les pitons de bélières à facettes sont du type An IX. La chape, côté contre-garde, est signée « Manuf imp Boutet Versailles », ce qui en fait une pièce de prestige.
NB : Ce sabre de combat, compte tenu de la qualité de la lame, de la signature de Boutet et de la présence des aigles impériales, peut être attribué à un officier de la Garde Impériale. L’allure générale est dans le goût des officiers des Gardes d’Honneur (voir Tradition Magazine N° 145, voir aussi ancienne collection Pierre-Maxime Glain, première vente à Angers 1981 n° 160 du catalogue).

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Magnifique sabre d’officier supérieur de cavalerie légère à la chasseur.
Poignée recouverte de basane avec filigrane de fils d’argent torsadés, garde à trois branches ayant conservé sa dorure.
Magnifique lame dorée au tiers et finement gravée à l’eau forte, à partir du talon, de guirlandes et de divers trophées caractéristiques des hussards, signée dans un cartouche, côté garde « Klingenthal » et côté contre-garde « Coulaux frères ». Sur chaque côté de la lame figure une scène de bataille. Coté garde une charge de hussards contre un parti d’infanterie russe. Côté contre-garde une charge de hussards menée par un officier supérieur en chapeau contre un parti de cavalerie. Ces scènes rappellent probablement les faits d’armes du propriétaire et sont probablement de la main de Bisch graveur de la manufacture de Klingenthal
Côté garde figure le blason des Dursus de Courcy surmonté d’une couronne de marquis : d’or à trois pies grièches au naturel, accompagnées d’un soleil de gueules posé en abîme. Le blason est adossé à des lions.
Sur la branche de garde, côté contre-garde, figure le monogramme du propriétaire, J A D, entrelacés, probablement Jacques, Philippe, Auguste Dursus de Courcy, dit le Chevalier Dursus.
Les bracelets et les pitons de bélières à facettes du fourreau en fer sont du type An IX.
Cette arme a conservé 95% de sa dorure.
Jacques, Philippe, Auguste Dursus, marquis de Courcy : né à Emondeville, circonscription de Valognes, le 25 avril 1758. Sous-Lieutenant au Régiment de Soissonnais en 1774. Campagne d'Amérique sous les ordres de Rochambeau. Blessé au siège d'York. Quitte l'armée de terre pour la marine en 1783, puis revient au Régiment de Soissonnais en 1784 avec le grade de Capitaine. Emigre et rejoint l'armée de Condé en 1792. Passe en Angleterre, puis à Saint Petersbourg, en Russie, où il devient précepteur des enfants de Condoidi. Rentre en France en 1802 et participe aux campagnes de l'Empire chez les Hussards. Fait chevalier de l'ordre de Saint Louis à la première Restauration. Se retire dans ses terres à Valognes, où il meurt le 3 janvier 1828. Il inspira à Jules Barbey d'Aurévilly le personnage du Chevalier Rifus dans son roman "Le chevalier des Touches".

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Buste en biscuit sur piédouche bleu nuit liseré d'or de Bonaparte. Il porte au dos la mention "Bonaparte 1er Consul 1801" et est signé "Cartellier à Sèvres".
Sous le piédouche figure le timbre rouge de la Manufacture Impériale de Sèvres.
Les objets de ce type datant de la période impériale sont très recherchés pour leur qualité et leur rareté. Celui-ci est en parfait état.
Pierre Cartellier (1757 - 1831) : orfèvre et sculpteur français. Membre de l'Institut. Professeur à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris. Auteur, entre autres, de bas-reliefs de l'arc de triomphe du Carrousel.

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Sabre de Gendarmerie d’Armée, dit Mle An IX, en fait, un modèle faisant l’objet de commandes commerciales privées, ce qui explique que cette arme ne soit pas réceptionnée réglementairement.
Fourreau de fer avec bracelets de bélières plats, décorés au trait. Dard à ergot typique des sabres de Gendarmerie d’Armée.
Lame droite de 97 cm de long, plate et à dos du modèle de l’An IX, sans marquage.
Forte monture de fer à plateau marqué « 1.R…G 68 .». Poignée de bois gainée de cuir et filigranée de cuivre rouge. Fer et cuivre rouge sont typiques des traditions de l’ancienne Maréchaussée de France.
P.S : ce sabre est très rare (voir article de M Pétard dans Tradition Magazine N° 98), beaucoup ont été transformés. La Gendarmerie d’Armée, ancêtre de la Prévôté, était constituée d’hommes détachés à l’armée par les légions de gendarmerie départementale. 

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Modèle de cavalerie légère "à la chasseur".
Garde à trois branches en laiton doré, poinçonnée du B en cursive dans un cercle de Bisch Joseph, Ambroise, contrôleur de 2ème classe à partir du 23/02/1809. Poignée en galuchat filigranée de fils d'argent torsadés.
Lame à dos rond à un pan creux, bleuie et dorée sur la moitié de sa longueur, marquée Klingenthal.
Coté garde la lame est ornée d'un chevalier en armure portant un bouclier dans lequel figure une scénette de combat gravée à l'eau forte et se tenant sur un socle portant la mention "Souvenir du Colonel d'Artrie Alpy". Au-dessus figure un canon entouré de trophées d'armes.
Côté contre-garde, la lame est décorée d'un cavalier posé sur un socle monogrammé "P" surmontant une croix de la Légion d'honneur. Le talon porte la mention "Gravé & doré par Bisch le Jeune". Au-dessus, figure une grande Aigle impériale sous un dais.
Fourreau de fer poli blanc.
Cette arme est dans un état proche du neuf.
Bisch François, Joseph, dit "le Jeune" fils de Joseph, Ambroise Bisch dit "le vieux", graveur attitré et réputé de la manufacture de Klingenthal
Alpy Jean, Francois (19/12/1768 - 08/02/1837), Lieutenant Colonel détaché du 8ème régiment d'artillerie à pied comme Inspecteur de la manufacture du Klingenthal à compter du 1er janvier 1812, il succède à l'Inspecteur Jean Pache, détaché du 1er régiment d'artillerie à cheval, qui était en poste depuis le 1er juin 1811.
Ce sabre n'aurait-il pas été offert, en la personne d'Alpy, par la Manufacture de Klingenthal à l'Inspecteur Pache, à l'occasion de son départ ?
Tout correspond. L'initial P figurant sur la lame, le modèle de sabre, les symboles, la scénette, s'adressent à un cavalier, ce qui était le cas du Capitaine Jean Pache.

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Sabre d'Officier de chasseurs à cheval du Modèle 1792. Poignée entièrement filigranée de fils d'argent. Calotte à longue queue, soulignée au trait. Branche de garde simple joignant la croisière à angle droit. Quillon droit à enroulement. Oreillons losangés et gravés de la mention "Donné par le Directoire Exécutif" sur l'un, et "Au Citoyen" sans attribution sur l'autre. Lame à simple pan creux, bleuie et dorée au tiers, gravée de motifs floraux, de trophées et de signes cabalistiques. Fourreau de laiton à un crevé de cuir découpé en accolade et renforcé de deux attèles latérales. Dard en fer. L'arme est en bon état.

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Sabre d'Officier Général de la période Directoire. Poignée entièrement filigranée de fils d'argent torsadés. Calotte à longue queue décorée de feuilles d'acanthe. Garde à une branche simple joignant la croisière à angle droit. Quillon en volute. Oreillons décorés d'une tête de Méduse. Le large fourreau comporte un crevé en cuir renforcé de deux attèles. Il est décoré de cabochons en léger relief, représentant des trophées d'armes. Le dard en acier est magnifiquement découpé. La lame est de damas décorée de signes cabalistique dorés. Elle comporte un très fort contre-tranchant. Cette arme est caractéristique de la période. Elle est en très bon état et a conservé la quasi totalité de sa dorure.

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Magnifique sabre de luxe d'Officier Général de cavalerie légère. Garde à une branche à médaillon sculpté d'un buste à l'antique entouré de deux étoiles. Calotte en forme de mufle de lion. Poignée en ébène finement quadrillée. Quillon en forme de tête de loup. Oreillons décorés d'une tête de Minerve. La lame à simple pan creux est bleuie et dorée au tiers. Le fourreau de laiton doré est bordé de fleurettes et rehaussé de différentes scènes symboliques en relief, dans l'ordre de haut en bas : un trophée d'armes, la vertu défendant les innocents, la science. Il s'agit d'une arme de grand luxe, qui a conservé l'intégralité de sa dorure. Accident dans le bas du fourreau.

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Magnifique aquarelle de Jaques Onfroy de Bréville, dit JOB, illustrateur français né le 25 novembre 1858, à Bar-le-Duc, mort le 15 septembre 1931 à Neuilly-sur-Seine.
JOB est célèbre pour ses illustrations patriotiques des livres pour enfants des Editions Montorgueil. Son souci du détail et son style épique ont contribué à construire la légende de l'Empereur Napoléon.
Le tableau présenté met en scène un régiment d'Infanterie Légère rentrant, musique en tête, dans ses quartiers, sous les yeux admiratifs de la foule.
Cette composition regorge de détails savoureux, qu'on ne se lasse pas de découvrir.
Elle est signée, JOB, en bas à gauche.
Encadrement doré, sous verre (68 cms x 55 cms).

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Bronze de l'Empereur en pied. Terrasse de marbre blond. Hauteur : 26,5 cms

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Revolver Remington, New Army, calibre 44, Modèle 1858, modifié 1863 : guidon acier, voile renforcé.
Numéro de série : 91245.
Dessus du canon gravé "Patented Sept 14 1858 - E.Remington & Sons.Ilion Newyork.U.S.A - New Model".
Les plaquettes de crosse sont de noyer rouge et sur la plaquette de gauche, dans un rectangle, figurent les lettres O.W.A, pour O.W Ainsworth, inspecteur militaire, qui a réceptionné l'arme.
Cette arme est en parfait état de conservation et de fonctionnement.
Le mécanisme à simple action ne comporte aucun jeu, le barillet à six coups est parfaitement indexé, l'intérieur du canon n'est pas piqué.
Ce revolver est dans son bronzage d'origine. Il est représentatif de la guerre de Sécession et de la conquête de l'ouest.

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Sabre des Grenadiers à Cheval de la Garde Impériale.
Lame poinçonnée du M de l'inspecteur Marion en poste à Klingenthal du 12/12/1808 au 31/05/1811 et du B de J G Bick contrôleur de première classe de 02/1809 à 08/1824, gravée au dos Mfture Imple du Klingenthal Coulaux Frères.
Dessus du plateau de garde marqué Versailles, portant le poinçon J C de J N Cazamajou 2ème contrôleur du 01/01/1809 à fin 1811 et un autre poinçon illisible.
Le dessous du plateau porte la marque V, pour vérifié. Il est matriculé 2E.N°79, pour 2ème Escadron, Compagnie E, Arme N° 79 ?
La branche de garde est numérotée 517, numéro que l'on retrouve sur le talon de la lame.
Fourreau en laiton à deux crevés du 3ème type, poinçonné de Cazamajou, portant les traces d'étrier.
La fabrication de ce sabre peut être datée de février 1809 à avril 1810.
Très intéressant de par son matricule.

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Malle de transport attribuable à un Officier Supérieur des Marins de la Garde Impériale.
Elle est décorée sur toutes les faces apparentes. Elle ouvre sur le devant au moyen d’un abattant.
Le dessus représente l’avers du drapeau du Bataillon des Marins de la Garde.
Les deux côtés sont ornés d’une rose des vents multicolore soulignée d’une guirlande de feuillage dorée.
L’arrière représente une bataille navale dans un cartouche soutenu par deux dauphins.
L’abattant de la face avant porte l’inscription «BATAILLON DE MARINE DE LA GARDE IMPERIALE» dans un cartouche entouré de drapeaux tricolores. Il ferme au moyen d’un loquet peint à l’or et rehaussé d’un feuillage.
L’intérieur de la malle comporte deux compartiments. Il est entièrement peint en rouge.
La face interne de l’abattant est décorée du blason du propriétaire surmonté d’une couronne de marquis et cerclé du collier de la Légion d’Honneur. Il s’appuie sur des ancres de marine et des faisceaux de drapeaux dont deux à fond rouge à croix blanche, couleurs reprises sur l’écu à fond rouge et croix blanche en sautoir.
Le montage à queue d’aronde des différents panneaux entre eux est visible sur certaines faces. Quelques petits éclats de bois et trous de vers sont également visibles. Des traces de légères restaurations de la dorure des guirlandes de feuillage sont à noter sur la face interne de l’abattant. Le décor de la face arrière a subi les outrages du temps.
Cette malle reste en bon état. Le côté naïf de sa décoration ajoute à l’évocation de l’époque et de l’histoire de ce prestigieux corps de la Garde Impériale.

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Sabre d'officier de hussards "à la hongroise". Poignée de bois gainée de cuir nu, maintenu par deux olives, et percée en son sommet pour le passage de la dragonne. Garde à une branche joignant la croisière à angle droit, calotte à longue queue, oreillons en barrette, quillon en forme de boule. Fourreau à fut de bois recouvert de cuir, renforcé d'attelles moulurées, maintenues par cinq garnitures à godrons, dont deux servent de bracelets de bêlières, mince dard asymétrique en laiton se terminant en pointe. Très forte lame blanche à large contre-tranchant, presque exempte de piqures. Ce sabre est dans une belle patine, sans aucun coup, et conserve de la dorure dans les creux. Il s'agit d'un modèle caractéristique de la mode en usage à partir du milieu du XVIIIème siècle chez les officiers de hussards.

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Pistolet à doubles canons superposés et baguette latérale, de fabrication privée, sur le modèle des pistolets d'Etat Major Modèle 1855.
Les canons rayés sont de damas bronzé gris.
Les platines arrière et les garnitures sont finement ciselées et bronzées gris également.
La crosse arrondie est de noyer quadrillé.
La calotte à couvercle permet d'y loger les capsules.

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Original huilier à deux flacons en cristal décorés de guirlandes, réunis sur un support en métal argenté reposant sur des pieds en forme de cornes d'abondance à tête de dauphins et rehaussé d'un cordage et d'une ancre de marine.

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Buste en biscuit de Sèvres de Joseph Agricol Viala (22/02/1778 - 06/07/1793), jeune révolutionnaire mort à 15 ans à Caumont-sur-Durance en se sacrifiant pour empêcher les contre-révolutionnaires royalistes de franchir le fleuve. Buste à piédouche bleu portant en lettres d'or l'inscription "Viala", édité pour le centenaire de sa mort, daté S.93 et doré en 1895. Hauteur : 30 cms.

Prix : 1000€

Sabre des Grenadiers à Pied de la vieille Garde Impériale. Dos de la lame gravé "Mafture Imple du Klingenthal Couleaux frères". Lame poinçonnée du B dans un cercle de J.G Bick, contrôleur à Klingenthal de 02/1809 à 08/1824, ainsi que du M étoilé de C Marion, inspecteur de 12/1808 à 06/1811. Branche de garde marquée Versailles, portant la barrette de Versailles, le poinçon JC dans un ovale de J Cazamajou 2ème Contrôleur de 01/1809 à 09/1811 et le J dans un ovale de l'inspecteur Jacquesson en poste de 11/1809 à 01/1812. Cette arme est sortie de manufacture entre 11/1809 et avril 1810, date à laquelle les lames sont datées.

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Sabre des Grenadiers à Cheval de la Garde du deuxième modèle.
Garde à palmette ajourée, caractéristique des premières fabrications, frappée sur le dessus d'un poinçon illisible et sur le dessous de la marque du fondeur et d'un autre poinçon.
Poignée de cuir à filigrane tressé. Calotte portant un poinçon illisible.
Lame à la Montmorency marquée au dos "Mture Imple du Klingenthal Coulaux Frères", portant le poinçon B entouré de points de l'Inspecteur Simon de Baumaretz, en poste à Klingenthal de septembre 1803 à mai 1807 et le poinçon de J-Jacques Mouton, (dont on devine la grosse roue surmontant le M), Contrôleur de 1ère classe de juillet 1798 à février 1809.
Le fourreau de laiton comporte les deux attelles consolidées de deux bagues de renfort rivetées. Le fourreau et les bagues sont poinçonnées du J.C dans un ovale de Jean Cazamajou, réviseur à Versailles de 1803 à 1806.
Cette arme, en bon état, dans une belle patine, et dont tous les marquages sont cohérents, peut être datée de 1806.
N.B : les lames furent gravées Manufacture Impériale à partir du 31 janvier 1806. La palmette ajourée disparut vers 1807.

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Epoque : Monarchie de Juillet

Original et très élégant fusil de chasse à percussion signé de Lepage. Doubles canons en table de fin damas bronzé tabac, décorés d'un filet doré à la bouche. Queue de culasse joliment gravée. Ligne de mire marquée en lettres d'or "Lepage Arquebusier du Roi à Paris". Intéressant mécanisme de percussion à platines intérieures. Chiens gravés de volutes. Pontet et sous-garde richement ciselés et portant dans un médaillon doré l'inscription "Lepage Arqsier du Roi". Crosse en noyer choisi à poignée finement quadrillée et sculptée d'une tête de crocodile. Baguette en fanon de baleine à tête d'ivoire. Arme en très bon état.

Prix : 9000 €

Epoque : XIXème Siècle

Aquarelle représentant un trompette du 2ème régiment de Cuirassiers de la Garde Impériale sous le Second Empire en 1857, signée en bas à droite Carrey 93. Dimension : 45,5 x 59,5 cms.

Prix : 450€

Epoque : Consulat

Pistolet de cavalerie Modèlele An IX de la manufacture de Charleville. Platine gravée "Manuf Natiole de Charleville", poinçonnée du T du 1er contrôleur Tisseron. Pan gauche du canon daté An X et poinçonné du P étoilé du contrôleur Pate, pan droit frappé R F et poinçonné du M de l'entrepreneur Morin (?). Toutes les garnitures sont poinçonnées du T de Tisseron. Le macaron de crosse, en superbe état, est daté de Frimaire  An X. Arme rare dans cet état.

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Epoque : 1er Empire

Carabine de Versailles Modèle An XII pour l'Infanterie. Lourd canon à pans sur toute la longueur, légèrement tromblonné à la bouche, à fortes rayures, daté 1811 et poinçonné GG du réviseur Georges Godmas, J dans un cercle de l'inspecteur Jacquesson et D du contrôleur Deschaseaux. La platine est frappée Mre Imple de Versailles en lettres capitales et porte le poinçon N dans un écu de Niçaise. Toutes les garnitures sont poinçonnées du D en cursive de Deschaseaux. Côté contre-platine la crosse porte les initiales J.D de Jean Baptiste Deschaseaux et le macaron de crosse daté de Mars 1812, comporte les initiales du contrôleur Deschaseaux et de l'inspecteur Jacquesson. Cette arme est en parfait état, le bois a conservé son grain et tous les marquages sont homogènes.

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Epoque : Louis XVI

Pistolet de marine premier type du Modèle 1779 à platine dite "rognée". Platine marquée "M Rle de Tulle", pour Manufacture Royale de Tulle et poinçonnée d'un G couronné. Canon rond au tonnerre poinçonné de deux petits cercles. Crosse en noyer foncé. Crochet de ceinture côté contre-platine. Bon état.

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Epoque : Napoléon III

Coffret nécessaire de duel ou de tir comportant deux pistolets à percussion à platine arrière, complet de tous ses accessoires. Les canons sont en fin damas. Les platines sont finement ciselées et signées Aury à Saint Etienne. Les crosses sont en ronce de noyer blond sculptées et cannelées. Le coffret est tendu de velours vert. Vers 1860.

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Epoque : Louis XV

Elégante paire de pistolets de voyage d'époque Louis XV. Canon bleuis et décorés de volutes dorées. Platines à corps plat finement ciselées, signées de Tardy. Crosses de noyer sculptées et décorées de fils d'argent. Toutes les garnitures sont en argent. L'une des calottes représente un buste d'homme, l'autre un buste de femme. Bon état.

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Epoque : Seconde moitié du XVIIIème Siècle

Pistolet d'officier de marine. Canon en bronze à longs pans au tonnerre, puis rond. Platine à corps rond et garnitures en bronze. Chien à col de cygne et batterie en acier. Crosse en noyer sculptée et décorée de fils d'argent. Il s'agit d'un modèle caractéristique de la mode des armes de marine.

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Epoque : XIXème Siècle

Statuette en bronze à patine médaille sur un socle de marbre représentant l'Empereur en pied. Elle est signée de James Pradier (1790 - 1852). Hauteur 38 cms environ avec le socle.

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Epoque : 1er Empire

Sabre des sapeurs d'infanterie de la Garde Impériale du Modèle 1804. Poignée en forme de tête d'aigle. Croisière ornée d'un mufle de lion. Doubles quillons se terminant en tête de chien. Lame postérieure à pointe dans l'axe. Dos de la lame en dents de scie marquée "Coulaux Cie à Klingenthal", poinçonnée au talon. Fourreau de cuir à deux garnitures découpées en accolade et décorées au trait. Bouton de chape en forme de mufle de lion.

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Epoque : Révolution

Imposant sabre d'Officier Général caractéristique de l'époque révolutionnaire. Forte lame superbement bleuie et décorée de symboles dorés. Monture à garde de bataille. Calotte à longue queue en forme de casque empanaché. Poignée de cuir filigranée de fils torsadés. Fourreau de cuir à trois garnitures de laiton doré et décorées au trait. Ce sabre est en très bon état et a conservé la quasi totalité de sa dorure.

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